40TH ANNIVERSARY

Vos vélos

Your Bikes

Dans le cadre de notre célébration du 40e anniversaire, nous avons demandé aux cyclistes de Rocky Mountain de partager leurs vélos préférés et les histoires qui les accompagnent. Qu'il s'agisse d'un tout nouveau Altitude Powerplay ou de leur Hammer rétro des années 90, nous les aimons tous. Voici quelques-unes des histoires que nous avons recueillies auprès de coureurs du monde entier.


J’ai acheté mon Rocky Mountain Équipe en 1991… et je l’ai toujours. Nous en avons vécu des aventures ensemble en 30 ans : randonnée en Allemagne, promenades avec mon garçon en remorque, voyage de Seattle à Portland, tour des îles Gulf (plusieurs fois), sans parler des milliers de kilomètres parcourus sur routes et sentiers entre Vancouver et Whistler. Mon vélo a toujours été fiable et a requis très peu d’entretien au fil des ans. Quand je suis sur les sentiers, je reçois beaucoup de « Cool, ton vélo! » ou « Tu es mon héros! », surtout de personnes qui n’étaient pas nées quand je l’ai acheté. Le seul problème, c’est que mon vélo vieillit mieux que moi!

- Herb Goergen


 

J’ai acheté le cadre de mon Blizzard 1992 sur eBay et entrepris de monter mon vélo pièce par pièce (certaines neuves et d’autres non) afin d’assembler la machine parfaite pour nos sentiers! J’ai vu ce Équipe en vente et j’aimais tellement la couleur, car elle me rappelait l’époque où mon père travaillait comme mécanicien de vélo à temps plein. Il ramenait les vélos les plus cool à la maison pour que nous les essayions! Les vélos des années 1990 étaient superbes, et je suis heureux d’en avoir un exemple en ma possession! C’est le Tantalus 1985 (édition de luxe) que mon père a acheté neuf. Il aimait la manière dont le soudobrasage d’angle a été réalisé par Derek Bailey. La peinture personnalisée ajoutait une jolie touche. Il m’a toujours dit que c’était une licorne. Assurément un de mes favoris!

- Jacob Balzer 

 


 

Le Pipeline a été le premier de mes deux Rocky Mountain. J’avais un vieux Van Dessel dont les pièces étaient introuvables quand je suis tombé dessus dans un magasin de vélo. Une semaine plus tard, j’allais le chercher : la meilleure décision que j’ai prise. Ça a été le coup de foudre instantané. Je viens de me procurer le nouveau modèle Altitude et je n’en reviens pas qu’une telle bête de descente puisse aussi m’amener au sommet. Fan de Rocky pour la vie! Love the Ride!

- Zeb McAllister


 

Avec lui j’ai réalisé combien le vélo de montagne était excitant. Mon père l’a acheté en 2010, et j’ai commencé à l’utiliser quand il a arrêté de s’en servir. Comme je déteste m’entraîner dans un gymnase et courir, j’ai commencé le vélo pour rester actif. Je ne connaissais rien au vélo de montagne. Pression des pneus, ajustement de la suspension, entretien… ça ne me disait rien. Je savais seulement comment rouler. Je n’ai pas été tendre avec, mais les rayons brisés, les pneus usés et les vitesses qui sautent ne m’ont jamais empêché de pulvériser les pistes de descente. Mon Rocky a été solide du début à la fin, comme s’il avait été conçu pour chaque montagne qu’il a sillonnée. Mon fidèle compagnon ne m’a jamais déçu. Mais un jour, ma négligence a eu raison de lui et je me suis retrouvé sans vélo, puisqu’il avait besoin de réparations majeures. C’est à ce moment que j’ai réalisé mon erreur tout comme le plaisir qu’il m’apportait. L’année dernière, j’ai commencé à chercher un nouveau vélo et j’ai vu à quel point ça a évolué! Je n’avais pas réalisé que mon Switch était rendu un dinosaure! Mon vieux Rocky a maintenant son coin spécial dans le garage, et chaque fois que je le vois, je me rappelle tout ce qu’il a enduré et le bonheur qu’il m’a apporté. Mon Switch de 20 ans a éveillé ma passion du vélo de montagne, et je ne remercierai jamais assez la vie de l’avoir mis sur mon chemin.

- Robert Tonne

 


 

Fan de Rocky Mountain depuis 1997. Tous mes vélos, de mon Vertex TO à mon Slayer 90 actuel, réussissent à me faire décrocher du stress quotidien le temps d’une sortie en bonne compagnie. Love the Ride.

- Janis Perron

 


 

J’ai commencé tard, alors que j’étais dans la fin vingtaine, en surplus de poids, et que je voulais seulement me remettre en forme. C’est là que j’ai découvert un sport que j’aime vraiment. Les moments riches, les paysages à couper le souffle et une petite dose de solitude m’ont été salutaires. J’ai délaissé le vélo pendant quelques années quand je me suis marié et que j’ai eu ma fille, mais je m’y suis remis dernièrement. J’ai toujours mon bon vieux Slayer d’une dizaine d’années auquel j’ai apporté des modifications en cours de route. Je savoure chaque instant sur ce vélo, même quand il me fait la vie dure (ce qui arrive assez souvent quand on arrête quelques années). Je vais peut-être commencer à regarder pour un nouveau vélo… ou rester le gars qui profite de la vie sur sa vieille monture!

- Richard Bodiford

 


 

J’ai acheté mon Rocky Mountain Soul en 2011 au magasin de vélo de Rocky Mountain House, en Alberta. À l’époque, j’avais un surplus de poids, je n’étais pas en forme et j’étais malheureux et déprimé. J’ai roulé un peu cet été-là, mais c’était difficile puisque j’avais été inactif pendant longtemps. L’été suivant, je suis remonté en selle, et plus je roulais, plus j’avais du plaisir, et mieux je me sentais. J’ai donc commencé à labourer les sentiers locaux, puis à tirer mes enfants dans une remorque. Je me suis mis à rouler avec eux quand ils ont appris à pédaler. Voyant que ma forme physique s’améliorait, j’ai repris la randonnée et les excursions pédestres. J’ai ensuite découvert le cyclocamping! L’activité parfaite pour moi : l’aventure et l’exploration par mes propres moyens. J’ai fait mon premier voyage à Jasper avec mon fils alors qu’il avait 11 ans. J’ai ensuite parcouru 300 km de sentiers en Colombie-Britannique, de Fernie à Nelson. J’étais rendu accro. J’ai également exploré ma région. Je peux dire aujourd’hui que le vélo m’a sorti du gouffre et a changé, ou peut-être même sauvé, ma vie.

- Ryan Jillard



 


 

Grand fan de Wade, j’étais hyper excité quand l’édition spéciale est sortie. J’ai acheté le cadre et monté mon premier vélo! Il m’a fallu du temps pour pouvoir me permettre toutes les pièces que je voulais, mais ça a valu la peine. Ce vélo sera toujours un élément central de ma collection.

- Tim Edwards


 


 

L’Element est mon 3e Rocky Mountain. J’ai toujours mon Hammer et mon Vertex RSL chaussés en 26 pouces, mais l’Element est celui qui me sert le plus. Assez agile pour labourer les sentiers sinueux dans le bois comme ceux des grands réseaux. J’aimerais beaucoup ajouter un Instinct à ma collection un jour. J’ai voulu un Rocky Mountain à la seconde où j’en ai vu un dans le magazine Mountain Biking UK quand j’avais 13 ans. J’ai réussi à acheter mon premier Rocky, le Hammer, quand j’étais dans la trentaine, et il ne m’a jamais déçu.

- Richard Winder

 


 

J’ai acheté mon Blizzard en 1993, alors que je travaillais comme mécanicien de vélo.

Je l’ai immédiatement modifié avec une potence, un guidon, des poignées et une tige de selle Syncros. J’ai remplacé la selle d’origine par une Italia Flite et les freins par des freins hydrauliques sur jante Magura. Plus tard, alors que je travaillais au Royaume-Uni, j’ai ajouté un jeu de direction Chris King et une fourche Manitou de couleurs contrastantes ainsi que des roues usagées montées avec des moyeux Hope en titane et des déclenches rapides Salsa.

Au Royaume-Uni, je courais avec l’incroyable Team Splat! sur les circuits de course, même dans le cadre de la légendaire Malverns Classic.

Le vélo semble encore pratiquement neuf. Je l’utilise pour aller chercher mes viennoiseries le dimanche.

Pas de doute, c’est un vélo à garder.

- Sebastian Hampel

 


 

Ayant grandi à Deep Cove sur le North Shore, j’ai n’ai pu faire autrement que de développer jeune mon amour du vélo de montagne. Guidés par le fameux groupe de la boutique Cove Bikes et habitant tout près du mont Seymour, les riders locaux avaient de bons vélos et un niveau relevé. En 1987, alors que j’avais 18 ans, j’ai ramassé l’argent nécessaire pour m’acheter un Tantalus que j’avais fait peindre aux couleurs des riders locaux. Trente-quatre ans plus tard, je me souviens encore de ma réaction lorsque j’ai sorti le cadre et la fourche de la boîte. Et encore aujourd’hui, je ressens la même excitation chaque fois que je sors mon Rocky Mountain.

- Mike Caines

 


 

L’Altitude 2019 est le premier modèle neuf (à l’époque) que je me suis procuré! Je l’ai acheté aussitôt revenu de mon voyage à Whistler en 2018. C’est la machine qui a éveillé ma passion du vélo de montagne. Pour une raison quelconque, je me sens invincible sur ce vélo. De plus, il m’a donné l’excuse parfaite pour voyager et explorer de nouveaux coins. Il m’a fait suivi sur toute la côte Ouest, des sentiers locaux près de chez moi à la chaîne de montagnes Sierra, et des forêts glaiseuses de Squamish et de Pemberton à quantité de lieux emblématiques. Ce vélo m’a permis d’aller aux endroits les plus irréels et de créer des souvenirs inoubliables!

- Matthew Reynolds

 


 

Mon Rocky Mountain Hammer 1994 m’a totalement donné la piqûre. Mon fidèle compagnon de longue date a été converti de différentes façons : vélo de cross-country (sa fonction originale), vélo semi-rigide de freeride modéré, vélo de trial. Il a éveillé non seulement ma passion du vélo de montagne, mais aussi mon intérêt pour les modifications de configuration et le montage. Il se trouve présentement dans mon atelier. J’en ai fait mon vélo rétro de rêve que j’ai monté avec toutes les pièces que je voulais quand j’ai commencé : pédalier Turbine LP, jeu de pédalier, plateaux, potence et tige de selle XY de Race Face; fourche Amp Research F3XC; transmission Shimano XTR; v-brakes XTR de 1re génération avec leviers Avid Speed Dial 2.0; jeu de direction Chris King; pneus Maxxis High Roller; pédales Ritchey Logic; guidon en carbone Easton Monkey Lite; le tout monté sur mon Hammer 1994 adoré avec ses magnifiques tubes Ritchey Logic. J’ai souvent mis ce vélo à rude épreuve, mais il a toujours été au rendez-vous sur les sentiers.

- Steve Paterson

 


 

Comme j’habite en Floride, on me regarde souvent du coin de l’œil quand je laboure les sentiers avec mon Rocky Mountain Slayer. On me dit toujours que ce n’est pas un vélo adapté pour ce coin de pays, mais c’est le meilleur que j’aie eu pour notre terrain de jeu. De la piste de BMX au Dirt Jumps en passant par les sentiers plats et les chutes de 20 pieds, il anéantit n’importe quoi! Pendant que les gens se contentent d’observer depuis les estrades, je tire mon épingle du jeu sur mon Slayer et donne une autre perspective de ce que peut être un bon vélo en Floride. #myrideordie

- Matt Montsdeoca


 


 

Comme beaucoup d’entre vous, j’ai commencé à magasiner un vélo pour traîner mes 215 livres dans de longues montées et les ramener en haut des sentiers sans camionnette. Ça prenait beaucoup de N·m et suffisamment de wattheures pour épuiser mon énergie de la journée. Mon vélo doit être capable de me survivre. J’aurai bientôt 60 ans, ma femme a 55 ans, et nous aimons toujours ce sport généralement pratiqué par des jeunes dans la vingtaine et la trentaine. L’Altitude C50 nous permet de nous en donner à cœur joie!

- Tove Sorensen


J’ai commencé le vélo de montagne à 39 ans avec un vélo que j’ai acheté d’un ami pour 400 $. Après quelque six mois, j’étais officiellement devenu un adepte et j’avais besoin d’une machine qui allait égaler voire surpasser mes capacités. Je reluquais depuis un certain temps les Rocky Mountain du magasin de vélo du coin, alors quand le moment est venu d’acheter un nouveau vélo, j’ai opté pour le Thunderbolt A50. Il ne m’a jamais déçu. Il attaque tous les obstacles sur son chemin, grimpe comme une chèvre et pulvérise les descentes les plus rudes sans sourciller. Je l’ai modifié pour l’adapter à mes besoins et je sais que j’ai encore de bonnes années à en profiter.

- Kristopher Beck

 



J’ai eu ce vélo à mon 10e anniversaire. Je l’utilise chaque jour dans les parcs et les sentiers de Thunder Bay enOntario. C’est un vélo extraordinaire. Je suis fan de Rocky Mountain, comme mon père. Merci! (Message approuvé par papa.)

- Madeleine Dagenais


C’est moi à l’époque où je faisais des courses avec mon Rocky Mountain Altitude 70 2012 dans les You Yangs, dans l’Ouest de Victoria. J’en ai pulvérisé des sentiers... Que de bons souvenirs! Je suis content d’avoir découvert Rocky Mountain au Canada dans les années 2000 alors que j’étais en voyage à Whistler. J’ai acheté un des premiers cadres d’ETS chez un détaillant Rocky Mountain à Melbourne. J’ai fièrement possédé trois Rocky Mountain au fil des ans. Malheureusement, je ne roule plus tellement parce que mes os ne tiennent plus le coup, mais j’ai toujours ma collection de cadres et de vélos complets que je peux admirer et qui me rappelle le bon vieux temps. J’essaie de convaincre ma douce moitié de me laisser acheter le Growler 2021. Je n’ai jamais eu de vélo chaussé en 29 pouces et je le trouve magnifique! Bon 40e anniversaire aux meilleurs!

- Michael Dening




Admirateur de longue date des vélos Rocky Mountain, je suis aussi un fervent rider de vélo semi-rigide. Voilà pourquoi lorsqu’un Blizzard avec cadre à long débattement (une perle rare) est arrivé sur le marché au Canada, j’ai su qu’il me le fallait! Il n’était ni facile ni abordable de le faire expédier chez moi en Australie, mais je suis très content du résultat final. Je me suis un peu emballé avec les composantes (entre autres une jolie fourche FOX 36 et des roues Industry Nine!), mais j’adore le vélo et je le conserverai sans aucun doute. Je roule avec régulièrement, autant avec mes enfants que sur les sentiers de mon patelin. J’adorerais que Rocky fabrique une édition limitée en acier de ce vélo semi-rigide pour célébrer ses quarante ans!

- Justin Walker

 


 

Tout a commencé avec un Rocky Mountain Stratos dans les années 80. Depuis, c’est l’amour fou. Je me souviens avoir remarqué, en passant devant le magasin de vélo du coin à Hawkesbury en Ontario, cet alléchant Rocky pur aluminium. Il était bien au-dessus de mes moyens, mais j’ai décidé de mettre 500 $ de ma poche et de payer le reste avec n’importe quel boulot qui s’offrirait à moi (dont le ramassage de déchets dangereux... mais ça, c’est une autre histoire). Un mois plus tard, je roulais sur mon Stratos et à ce jour, ma passion demeure intacte. Adolescent, en vélo, je passais le plus clair de mon temps dans les Laurentides... un assez grand défi pour me permettre de m’améliorer, cicatrices en prime! Voici les vélos Rocky Mountain que j’ai possédés jusqu’à maintenant : – Stratos – Altitude – Thin Air – ETSX-70 – Vertex TO – Thunderbolt C70 – Vertex C70 Je roule présentement sur un modèle de rêve : l’Instinct C99 2021. Je teste ses limites chaque jour dans les environs du mont Boler à London, en Ontario. Lorsque je saute sur mon Instinct, une partie de moi (à 48 ans aujourd’hui) se sent exactement comme lorsque j’avais 16 ans et que j’embarquais sur mon Stratos... Merci Rocky pour tous les kilomètres sur (et hors) selle. John

- John McNair

 


 

En 2007, lorsque j’avais 17 ans, j’ai fait réparer mon vélo chez Cycle Path & Paddle. Un mois après, je travaillais là-bas. À partir de ce moment, j’avais toujours le meilleur vélo de la ville de Crosby, au Minnesota. À cette époque, comme il n’y avait pas de pistes simples, nous roulions sur d’anciennes routes minières. Trois ans plus tard, il y avait 40 kilomètres de pistes simples et mon patron cherchait un autre vélo pour la boutique. En 2011, une réédition du Slayer qui venait tout juste de sortir me faisait de l’œil. En 2012, l’année où nous avons commencé à vendre des vélos Rocky Mountain, j’ai pu me commander un Slayer 2012, mon vélo principal depuis le jour où je l’ai assemblé. Ce n’est peut-être plus la monture la plus haut de gamme de Crosby, mais c’est la plus vieille. Longue vie aux roues de 26 po!

- Ryan Anderson

 


Nous étions en 2003. À l’époque, je roulais avec un Gary Fisher Joshua. Il me suivait partout, sur n’importe quel terrain, notamment lors d’un voyage épique à Moab, en Utah (où nous avons failli mourir d’un coup de chaleur, mais ça, c’est une autre histoire). J’étais donc assez confiant sur ce vélo. Puis, un ami qui vit au pied du mont Fromme m’a invité à essayer le North Shore pour la première fois. Je me suis présenté avec mon Joshua et lui roulait sur un RM7 flambant neuf. Inutile de vous dire qu’il a eu du plaisir et que j’ai souffert! Après cette sortie, je me suis rendu à West Point Cycles sur-le-champ, littéralement, pour acheter le même vélo. Un achat tout à fait impulsif. Je roule encore sur le même vélo. J’ai 52 ans maintenant et même si on ne dirait pas de moi que je suis un Wade Simmons, ce vélo a été d’une solidité à toute épreuve. À chacune de mes sorties, des gens de mon âge m’arrêtent sur le sentier pour partager des souvenirs de cette époque. Hier, j’ai même été accosté dans le trafic par un gars qui vient de vendre le sien. Quoi qu’il en soit, je vais finir par me procurer une monture neuve, mais le RM7 aura probablement toujours sa place dans mon garage. J’adore mon vélo.


- Dean Hildebrand

 

Après toutes ces années, je roule toujours sur mon Rocky Mountain Stratos de 27 ans; pour le cross-country lors des hivers froids et humides, et pour le cyclotourisme en été. J’ai dû acheter au moins six ensembles de roues, et beaucoup de pédaliers, de chaînes et de cassettes neufs, mais la potence, le guidon (qui porte l’inscription Rocky), la manette de dérailleur, les freins et la tige de selle (qui porte aussi l’inscription Rocky) sont d’origine, donc il n’est pas trop dénaturé. Il y a deux ans, j’ai dû acheter une nouvelle fourche, car l’ancienne était dangereusement rouillée de l’intérieur (usée par la pluie et la boue des hivers néerlandais). Les fourches neuves de 26 po sont rares, minces et de mauvaise qualité, mais j’ai eu la chance de trouver sur eBay une Super Big Fork 1992 d’origine de Tange (utilisée par Rocky Mountain sur le Stratos). Je l’ai fait venir du Minnesota, aux États-Unis, ainsi que de nouveaux décalques assortis de la Grande-Bretagne, ce qui m’a permis de reconstituer mon fidèle destrier au complet. J’ai 64 ans, mais je promets d’essayer de garder mon vélo sur la route le plus longtemps possible, même s’il devient difficile de trouver de nouvelles pièces de rechange. J’ai d’autres vélos – un Rocky Mountain Element Team entièrement en scandium et un De Rosa Titanio pour la course –, mais le joyau de ma collection demeure mon Stratos d’époque. Sa dernière sortie pourrait bien être à votre usine, pour vous rappeler vos origines.
- Bert Felix

 

 


 

Mon vélo de prédilection au « bike park » Samerberg de Rocky Mountain? Un modèle sur mesure Rocky Mountain Maiden surnommé le « Ronti Monti », peint à la main par mes 3 enfants. #lovetheride, salutations de Bavière #40ansdeRM

- Florian Lerche


 


 

Salut à vous! Je voulais vous partager notre histoire de famille avec #rockymountain40... Nous sommes une famille recomposée avec 4 enfants – tous des amateurs de sentier. Ma tendre moitié a acheté son premier vélo Rocky Mountain – un Altitude 2014 – peu de temps après avoir déménagé dans l’Okanagan. Il n’avait alors aucune idée de l’obsession familiale pour ces vélos que son achat allait déclencher ni des aventures que nous nous apprêtions à vivre. Peu de temps après, il a déniché un modèle d’époque qu’il a restauré avec amour. Ce projet a été suivi par deux Reaper pour nos jeunes intrépides, et un Slayer de calibre pour les gros dénivelés. Pour être honnête, je suis la seule qui n’a pas de Rocky! J’ai outrepassé les capacités de mon vieux Trek Lush SL... Maman espère maintenant qu’avec quelques économies et suffisamment d’allusions, elle aura droit à un vélo neuf. Le nouvel Instinct me semble parfait! Merci d’avoir fabriqué ces vélos d’exception grâce auxquels nous avons tissé des liens et vécu des aventures incroyables en famille. #famillerockymountain

- Kathyn Fedoruk


 


 

C’est le premier vélo à double suspension – et le premier vélo de marque – que j’ai eu les moyens de me procurer. Comme je n’avais pas le budget pour un vélo neuf, j’ai parcouru 624 km – de Brașov, en Roumanie, à Cluj-Napoca, en faisant un détour par Bucarest (chez mon père, car j’avais besoin d’une auto pour le transporter) – pour l’acheter d’un jeune architecte comme moi. Un véritable coup de foudre : le vélo était extrêmement bien entretenu, et en 3 minutes je l’achetais. Ainsi ont commencé mes aventures dans les Carpates, repère du château de Dracula. Je vous attends à Brașov, en Transylvanie, qui recèle de magnifiques sentiers (dont certains mènent même au château!). Une région riche en histoire, en architecture, en coutumes (roumaines, saxonnes et hongroises) et en multiculturalisme, sans oublier sa longue tradition de sports de montagne estivaux et hivernaux, comme au Canada. Dans cette région touristique par excellence de la Roumanie, où l’on pratique la plupart des sports de montagne, se trouve la plus grande communauté d’adeptes de l’ascension et de la descente. Il ne manque plus que vous!

- Mînecan Alexandru-Ioan

 


 

Mon premier vélo Rocky Mountain était un Altitude 1996. Avec lui, je suis arrivé premier de ma division lors des séries du Mt. Hood Ski Bowl en 1998. C’est une chouette monture que je possède encore. Depuis, j’ai eu quelques vélos de montagne différents, mais mon préféré de tous les temps est celui que j’utilise présentement, un Element BC Edition 2017. J’ai grimpé sur la première marche du podium aux Championnats du monde multisports de l’UIT, remportant la première place de ma division en cross-triathlon sur mon Element. Nous sommes une famille Rocky ` : mon fils a un Slayer 730 MSL et ma femme a un Thunderbolt BC Edition.

- Darren Smith

 


 

 

Acheté neuf à Edmonton autour de 1989 (peut-être 1988 ou 1990), c’était, pendant des années, mon mode de déplacement pour me rendre au boulot, ma monture de piste simple sur des sentiers – légaux et moins légaux – et mon moyen de transport de prédilection. Je l’ai utilisé sur une longue section du sentier North Boundary au parc national de Jasper... un sentier incroyable qu’il faut voir en vrai, sans parler de la présence constante d’un grizzli devant nous qui laissait des traces de son passage. Je viens tout juste de faire la mise au point de mon vélo après avoir remplacé les pneus à flancs noirs Ritchie – j’en ai usé plusieurs à la corde –, ôté les freins Scott/Matthauser (des machines), la barre de titane coupée et la selle FLITE et les ai remplacés par des pièces qui conviennent mieux à un homme d’un certain âge. Je l’aime encore, assez pour aller m’éclater avec, pour repousser mes limites, et je refuse toujours de le céder à ma progéniture. Je roule maintenant sur un Instinct 930 acheté à Jasper en 2013.

- Jim Steele

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