40TH ANNIVERSARY

Vos vélos : 2e série

Your Bikes: Round 2

Dans le cadre de notre célébration du 40e anniversaire, nous avons demandé aux cyclistes de Rocky Mountain de partager leurs vélos préférés et les histoires qui les accompagnent. Qu'il s'agisse d'un tout nouveau Altitude Powerplay ou de leur Hammer rétro des années 90, nous les aimons tous. Voici quelques-unes des histoires que nous avons recueillies auprès de coureurs du monde entier.


Andrew Otterstrom

Mon histoire avec les vélos dure depuis 26 ans. J’ai eu la grande chance d’avoir un père qui adorait le vélo de montagne et dès mon tout jeune âge, lui et moi passions la plupart de nos fins de semaine à parcourir les bois sur nos vélos. À l’époque (nous étions au début des années 1990), les vélos pour enfants étaient lourds et mal conçus. Pour fêter mon 10e anniversaire, mon père m’a donné congé d’école et m’a réservé une surprise : un nouveau Hammer de Rocky Mountain. C’était un modèle plutôt rudimentaire selon les standards d’aujourd’hui – jantes de 26 pouces, freins cantilever et fourche Rock Shox Mag 30 qu’il fallait gonfler avec une aiguille pour ballon de basketball avant chaque utilisation –, mais je l’adorais. Il a fini par devenir trop petit pour moi, et a été légué à ma petite sœur, qui l’a aimé autant que moi. Pendant les 14 années suivantes, j’ai essayé différentes marques de vélo sur les merveilleux sentiers du North Shore et de Whistler. En 2010, j’ai déménagé dans le Nord pour le travail avant de revenir dans les basses-terres continentales en 2017, moment où je me suis remis au vélo. Toutefois, malgré leurs grandes qualités, les vélos que j’utilisais me semblaient mal adaptés. Durant un vol d’Air Canada en provenance de Toronto, je me suis adonné à engager la conversation avec un employé de Rocky Mountain. Nous avons tout naturellement commencé à parler vélos, et il m’a informé d’une grande nouveauté à venir : le Slayer 2020. Dès que cette beauté fut sortie, ce fut le coup de foudre. Ce vélo obnubilait mes pensées, mais à mon grand désarroi, avec mes deux enfants et mes autres responsabilités d’adulte, je n’avais pas les moyens de me l’offrir. Sans m’en glisser un mot, ma merveilleuse femme a commencé à économiser, et au mois de mars de cette année-là, elle m’a dit de me rendre à Kamloops pour ramasser mon nouveau Slayer Carbon 50 2021. Dès que je l’ai enfourché, je me suis senti dans mon élément. Le Slayer a un comportement si naturel sur les sentiers qu’il ne cesse de m’épater par son potentiel. Après un long détour de 26 ans, je suis enfin revenu à mes premières amours, les produits de Rocky, et maintenant je fais du vélo avec mon enfant de 7 ans et mon père, qui monte un Altitude Powerplay.

Tero Hannuksela

Ouais.

Je m’en souviens comme si c’était hier. Notre école de ski avait organisé une rencontre en été à Rukatunturi, dans le nord de la Finlande. Comme j’habitais alors plutôt près de Kemijärvi, c’était la porte à côté. On était en 2000 ou 2001.

La descente, ou DH, était un sport pratiquement inconnu en Finlande. J’avais un Sunn Xircuit Plus sans AUCUNE suspension, mais je l’aimais plutôt bien, jusqu’au jour où j’ai chuté durant une sorte de parcours de DH allant du haut de la colline jusqu’à la vallée.

Le saut n’avait rien de particulier : c’était une simple table. Mais comme le vélo n’avait pas de suspension et que je m’étais penché un peu trop au-dessus de la barre au début du saut, j’en ai été quitte pour une chute par-dessus le guidon, et je me suis fait mal aux mains en m’écrasant dans le gravier.

Il a suffi de cet accident pour faire de moi un adepte de Rocky Mountain : en 2005, je me suis procuré un Switch S1 hors taxes (je travaillais comme Casque bleu en Afghanistan, et tout ce qu’on achetait dans sa patrie pour amener en mission était hors taxes).

J’ai ensuite répété l’expérience en 2018 et troqué mon Switch S1 pour un Slayer Carbon 50 flambant neuf, en raison d’un problème mécanique sur mon vieux vélo de Rocky Mountain.

Et oui, si j’ai mis autant de temps avant de remplacer mon vélo, c’est assurément parce que Rocky Mountain n’avait aucun vendeur ou représentant en Finlande entre janvier 2011 et décembre 2017, sinon je crois que je me serais procuré un Flatline entretemps.

Love the Ride, comme moi!

William Yarborough

En 2001, j’ai découvert Rocky Mountain Bicycles en montant un Soul pour un trajet de Jasper à Banff, le long de la Promenade des Glaciers. Mon vocabulaire en cours de route s’est limité à des exclamations comme « magnifique », « fantastique », « incroyable » et « wow ». Oh Canada!

Ce n’était que la deuxième fois que j’enfourchais un vélo de montagne, étant plus un adepte du vélo de route. Le Soul était parfait pour la balade. On m’a suggéré, à raison, d’apporter mon propre siège et mes propres pédales. À la fin de la saison, j’ai acheté le vélo auprès du groupe offrant la visite guidée, qui me l’a expédié chez moi en Virginie, où je l’utilise encore à profusion. Je l’adore, et je suis vraiment heureux d’avoir pu découvrir votre marque et essayer vos produits.

Mon Soul 2001 de Rocky Mountain est un excellent vélo, qui vient d’une entreprise hors pair avec de profondes valeurs.

Attention à gauche!

William Yarborough
Alexandria (Virginie)

Lea Collingwood

Dernièrement – c’est-à-dire cet été –, je me suis remise au vélo de montagne. Pendant plus de 20 ans, je n’ai eu qu’un simple CCM Excel, mais le cadre s’est brisé même pas deux semaines après que j’aie recommencé à l’utiliser. Un bon ami qui a actuellement un Growler 40 m’a parlé des vélos de Rocky Mountain. J’ai fini par me trouver un Cardiac 1996, avec lequel je suis tombé en amour et que j’utilise dans les sentiers. Je l’ai simplement muni de nouvelles pédales Shimano et de pneus Race King 2.2 pour remplacer les pneus lisses d’origine. Jamais je ne m’ennuie quand je le monte. Récemment, je me suis aussi trouvé un modèle classique, un Hammer 1994. Mon Cardiac a donc un compagnon!

Peter Quinlan

J’ai 15 ans, et j’ai commencé à faire du vélo de montagne cette année avec mon Thunderbolt Alloy 10 2021. Cet été, j’ai concouru dans la St. John's Enduro Series, une compétition locale, et ai décroché la 2e place dans la catégorie U19 Sport. J’adore le vélo de montagne, tout comme mon vélo de Rocky Mountain!

 


Deaon and Alessandro La Fata

Bonjour! Je m’appelle Deaon, j’ai 9 ans et j’adore mon vélo à double suspension 🤙. Il est tout pour moi, et j’adore votre marque!

 

Grant Nipkow

Cette année marque mon 50e anniversaire, et 18 ans passés à monter des vélos de Rocky Mountain. J’ai eu mon baptême avec un ETSX 50 2003 qui arborait des flammes en aluminium brossé. C’était mon premier vélo à double suspension, et il me donnait l’impression de voler. Sa peinture était une œuvre d’art en soi, et j’en ai toujours conservé une photo sur mon bureau, à côté de celle de ma femme. J’ai maintenant un Altitude c70 2018, un vélo exceptionnel. Cela dit, en mon for intérieur, j’aimerais encore avoir ces fameuses flammes argentées pour dévaler les sentiers chez moi, dans le North Shore.

 

Ian Duckett

J’ai redécouvert le vélo de montagne il y a huit ans, sur un Slayer 50 2004. Martyrisé allègrement pendant dix ans avant de tomber entre mes mains, ce vélo ne me devait rien. Et pourtant, tout était encore en état de marche. Je l’ai monté durant des années, composant avec les caprices de la machine. Je remplaçais les pièces qui se brisaient, mais le cadre tenait toujours le coup. Quatre ans plus tard, je l’ai vendu et suis passé à un nouveau vélo de trail. Je continuais toutefois d’avoir un penchant pour la marque. Quatre autres années passent. J’ai une famille, deux petits garçons et un horaire très chargé, et l’hiver arrive à grands pas. Et qu’est-ce que Rocky Mountain lance alors? Un Fat Bike monstre, un Blizzard à axe transversal avec un tube de direction à 66 degrés. J’avais des vues sur un modèle quatre saisons, en avait essayé toutes sortes pendant des années, mais jamais un vélo ne m’était autant tombé dans l’œil. Il me le fallait. C’est le genre de vélo dont on ne se départit jamais. On peut pour ainsi dire tout faire avec lui : traverser des bois, tester de nouveaux sentiers, rouler à la plage ou sur la neige, tirer une remorque pour vélos sur roues ou sur skis, fixer un siège Mac Ride, affronter des pistes simples et se promener sur des pistes cyclables. Il m’a donné une excuse pour sortir à l’extérieur avec mes enfants tout l’hiver, et m’a dépanné quand mon vélo de trail m’a lâché. En fait, c’est dorénavant le vélo que je prends pour parcourir les sentiers de gravier, partir à la découverte de l’inconnu et me balader tranquillement. Ce n’est pas un poids plume, mais il est très performant, et fiable. Pas mal comme mon premier vélo. J’espère que Rocky continuera d’offrir des vélos de cette qualité. Tout le monde devrait en avoir un.

 

Zac Cheney

J’ai eu mon premier vélo de Rocky Mountain en 1999 : un Vertex au beau cadre bleu et blanc, enveloppé d’un groupe XTR, avec une fourche SID et des roues CrossMax de Mavic. Je voulais un vélo d’élite haut de gamme qui n’était pas trop conventionnel, mais conçu par des gens qui savaient réellement dévaler des pentes. Je respectais ses origines britanno-colombiennes, qui lui donnaient un angle de tube de direction légèrement plus faible pour attaquer les descentes. J’ai délaissé Vertex pour une série de vélos de la plateforme Element, avant de passer à un Slayer, puis à mon premier Altitude 29er et à un Thunderbolt. J’en suis maintenant aux modèles Instinct. Je ne sais plus combien de vélos de Rocky j’ai eus, mais c’est beaucoup! Mes voisins me disent que je devrais recevoir une commission, car j’ai fait découvrir la marque Rocky à au moins une douzaine d’amis et de membres de ma parenté, qui en sont maintenant des adeptes invétérés comme moi. Mon fils concourt maintenant dans la catégorie Varsity de la ligue pour élèves du secondaire de la National Interscholastic Cycling Association (NICA)… sur un Element de Rocky Mountain, naturellement! Je suis moi-même ravi du nouvel Element. Comment Rocky Mountain a-t-il réussi à concevoir un vélo qui me convenait parfaitement sans même me consulter!?

 

Mandip Kang

En 1998, mon père a fait une crise cardiaque. Le médecin lui a dit qu’il devait faire plus d’activité physique, alors nous nous sommes acheté nos premiers vélos de montagne : un Element Race 1998 de Rocky Mountain rouge pomme d’amour! Nous avons tous les deux eu le coup de foudre! Nos balades à vélo étaient l’une des meilleures activités père-fils qu’un garçon pouvait espérer.

En 2009, mon père est décédé d’une insuffisance cardiaque, et j’ai remisé mon vélo pendant des années… jusqu’en 2018, quand mon propre enfant m’a lancé : « Papa, allons nous promener en vélo! ». Je suis allé au magasin, et suis tombé en amour avec l’Altitude de Rocky Mountain. Nous faisons du vélo ensemble depuis!

La vie est courte. Profitez des beaux espaces, et Love the Ride!

Garanger Arnaud

La marque et les vélos Rocky mountain étaient pour moi le rêve absolu depuis que j'ai commencé le vélo ! Je suis un petit nouveau, j'ai réussi à obtenir l'année dernière le tout nouvel Altitude ! Ce fut un grand moment pour moi ! Et quelle claque ! Ce vélo est tellement incroyable, c'est vraiment le meilleur vélo de tout les temps ! Je ne cesse d'en découvrir sur lui, tellement beau, facile à rouler et efficace. Souvent nous sommes déçus par les choses qu'on idolâtre, mais là bien au contraire, il est encore mieux que dans mes rêves les plus fous ! C'est vraiment le vélo idéal pour moi pour participer au course et m'emmener sur la plus haute marche du podium au niveau national. Merci pour ce que vous faites !